L’éducation juive ne se limite pas à la transmission d’informations :
elle vise à forger des âmes, à éveiller des consciences, à créer une chaîne vivante de sens entre les générations.
Investir dans l’étude de la Torah avec ses enfants, c’est semer la lumière dans leur cœur, une lumière qui les accompagnera toute leur vie. Comme l’enseigne la Torah :
« Et tu les inculqueras à tes enfants, tu en parleras chez toi, en marchant sur le chemin, en te couchant et en te levant » (Deutéronome 6:7).
elle vise à forger des âmes, à éveiller des consciences, à créer une chaîne vivante de sens entre les générations.
Investir dans l’étude de la Torah avec ses enfants, c’est semer la lumière dans leur cœur, une lumière qui les accompagnera toute leur vie. Comme l’enseigne la Torah :
« Et tu les inculqueras à tes enfants, tu en parleras chez toi, en marchant sur le chemin, en te couchant et en te levant » (Deutéronome 6:7).
Lire ensemble des histoires de tsadikim

Raconter les vies de grands tsadikim aux enfants, c’est bien plus que partager une belle histoire : c’est nourrir leur imaginaire d’élévation, leur proposer des modèles vivants de dévotion, de courage, de pureté.
Le Baal Chem Tov enseignait que:
« les récits des justes sont aussi élevés que la Torah orale ».
Ou découvrir ensemble la compassion du Rav Aryeh Levin, “le père des prisonniers”, peut ouvrir des discussions sur l’empathie et la justice.
Chaque soir, un court récit avant le coucher, accompagné d’un petit commentaire, peut transformer un moment simple en une semence d’éternité.
Le Zohar enseigne que le récit des actions des tsadikim :
« éveille la miséricorde dans les mondes supérieurs ».
Étudier un passage de la paracha chaque semaine

La paracha de la semaine n’est pas seulement un texte ancien :
elle est une lettre personnelle envoyée par Hachem chaque semaine.
elle est une lettre personnelle envoyée par Hachem chaque semaine.
Étudier un petit passage, même quelques versets, avec ses enfants, crée un lien profond avec la tradition et les valeurs.
C’est l’occasion d’échanger avec l’enfant sur l’accueil, l’hospitalité, le respect de l’autre.
Rabbi Eliezer disait :
« Celui qui enseigne à son fils la Torah, c’est comme s’il lui avait enseigné lui-même, son fils, son petit-fils jusqu’à la fin des générations »
(Kiddoushin 30a).
Créer une routine familiale autour de la paracha, même 10 minutes le vendredi après-midi, c’est transformer le foyer en sanctuaire.
Comme le disait Rav Kook :
« La lumière de la Torah ne pénètre vraiment dans l’âme que lorsqu’elle est partagée dans l’amour ».
Faire de la Torah un moment de connexion

La Torah n’est pas seulement un savoir à acquérir.
Elle est une sagesse vivante, une présence divine dans le foyer.
Lorsqu’un parent étudie avec son enfant avec patience, joie, humour parfois, il ne transmet pas seulement un contenu : il transmet un amour.
Étudier un petit passage du Tanya sur l’âme divine peut devenir un moment de tendresse.
Lire ensemble un Proverbe ou un passage des Téhilim peut ouvrir une conversation sur les émotions, sur Dieu, sur la vie.
Comme le disait Rabbi Na’hman :
« Chaque mot de Torah est un vêtement de lumière pour l’âme ».
L’étude partagée devient un miroir, un espace d’intimité où les cœurs se rapprochent.
Conclusion :

