Dans le combat contre les dépendances, l’importance de la communauté est souvent sous-estimée.
Pourtant, comme l’enseigne la sagesse juive,
« Quiconque sauve une vie, c’est comme s’il sauvait un monde entier » (Talmud de Babylone, Sanhédrin 37a). La communauté a le pouvoir de soutenir, d’inspirer et de transformer des vies.
En s’engageant dans des activités communautaires, en trouvant du soutien auprès des autres et en contribuant soi-même à la communauté, une personne en chemin vers la guérison peut trouver la force et l’espoir nécessaires pour surmonter les défis.
Pourtant, comme l’enseigne la sagesse juive,
« Quiconque sauve une vie, c’est comme s’il sauvait un monde entier » (Talmud de Babylone, Sanhédrin 37a). La communauté a le pouvoir de soutenir, d’inspirer et de transformer des vies.
En s’engageant dans des activités communautaires, en trouvant du soutien auprès des autres et en contribuant soi-même à la communauté, une personne en chemin vers la guérison peut trouver la force et l’espoir nécessaires pour surmonter les défis.
S’engager dans des activités communautaires
L’isolement est l’un des plus grands obstacles à la guérison des dépendances.
En s’impliquant dans des activités communautaires, on brise ce cycle d’isolement et on se connecte à quelque chose de plus grand que soi.
Que ce soit à travers le bénévolat, les sports d’équipe, les groupes de discussion ou les événements culturels, chaque interaction renforce le sentiment d’appartenance et de but.
En rejoignant une équipe de softball locale, elle a non seulement trouvé une façon saine d’occuper son temps libre, mais elle s’est aussi liée d’amitié avec des coéquipières qui la soutenaient dans sa sobriété.
Trouver du soutien dans la communauté
Que l’on assiste à des réunions des Alcooliques Anonymes, que l’on se confie à un conseiller ou à un mentor, ou que l’on se tourne vers des proches, savoir que l’on n’est pas seul peut faire toute la différence dans les moments difficiles.
David, un père de famille luttant contre une addiction aux opiacés, a trouvé la force de persévérer grâce au soutien indéfectible de sa communauté synagogale.
« Sans la compassion et la compréhension de mes frères et sœurs juifs, je ne sais pas si j’aurais réussi »,
La contribution à la communauté comme outil de guérison
Donner en retour à la communauté peut être incroyablement thérapeutique pour une personne en rétablissement.
En aidant les autres, on se rappelle sa propre valeur et on cultive un sens de l’objectif.
Que l’on parraine un nouveau membre aux Alcooliques Anonymes, que l’on fasse du bénévolat dans un refuge pour sans-abri ou que l’on partage son histoire pour inspirer les autres, chaque acte de contribution nourrit l’âme.
En mobilisant ses voisins autour de cette cause, elle a non seulement aidé d’innombrables familles dans le besoin, mais elle s’est aussi sentie fière et reconnectée avec son meilleur moi.
« Être capable de redonner a été un tel cadeau »,
« Cela m’a rappelé que j’avais de la valeur au-delà de mon addiction. »
Briser les obstacles et les préjugés
La stigmatisation et les préjugés entourant la dépendance peuvent rendre difficile pour certains de s’ouvrir aux autres ou de demander de l’aide.
Il est essentiel que les communautés travaillent à briser ces obstacles par l’éducation, la compassion et l’inclusion.
Les dirigeants spirituels, en particulier, ont un rôle crucial à jouer.
En abordant ouvertement la dépendance dans leurs enseignements, en créant des espaces sûrs pour le dialogue et en offrant des ressources pour la guérison, ils peuvent aider à créer une culture de soutien et de compréhension.
Comme le dit le Rabbin Abraham Joshua Heschel,
« Dans une société libre, certains sont coupables, mais tous sont responsables. »
Conclusion
Résumé